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مُساهمة من طرف kossofi123 2011-03-16, 13:20


Biographie de Jean Anouilh
Jean Anouilh est né en 1910 à Bordeaux (France). Son père est tailleur et sa mère
est musicienne et professeur de piano, elle joue dans un orchestre se produisant sur des scènes de casino en province. C’est dans les coulisses de ces casinos qu’il découvre les grands auteurs classiques : Molière , Marivaux et Musset. Jean Anouilh vit à Paris et rentre au collège Chaptal. C’est très tôt qu’il se prend de passion pour le théâtre . En 1928, il assiste émerveillé, au printemps, à la représentation de Siegfried de Jean Giraudoux, l’adolescent de dix-huit ans fut ébloui, subjugué...
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Après des études de droit à Paris puis deux ans de travail dans une agence de publicité, il devient le secrétaire de Louis Jouvet en 1929. Les relations entre les deux hommes sont tendues (Louis Jouvet l’aurait surnommé ''le miteux''). Qu’importe, son choix est fait, il vivra pour et par le théâtre.
Sa première pièce, l’Hermine (1932), lui offre un succès d’estime, et il faut attendre 1937 pour qu’il connaisse son premier grand succès avec le Voyageur sans bagages . L’année suivante le succès de sa pièce la Sauvage confirme sa notoriété et met fin à ses difficultés matérielles.
A cette époque, il se marie avec la comédienne Monelle Valentin, et ils ont ensemble une fille.
Il monte Le bal des voleurs en 1938.
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Puis éclate la seconde guerre mondiale. Pendant l’occupation, Jean Anouilh continue d’écrire (Eurydice, en 1942). Il ne prend position ni pour la collaboration, ni pour la résistance. Ce non-engagement lui sera reproché.
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En 1944 est créé Antigone. Cette pièce connaît un immense succès public mais engendre une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l’ordre établi en faisant la part belle à Créon . En 1945, il s’engage pour essayer de sauver l’écrivain collaborateur Robert Brasillach de la peine de mort ; en vain. Cette exécution le marque profondément.
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Après la guerre, Jean Anouilh poursuit sa création à un rythme soutenu. En 1947 il écrit L’invitation au château, une des premières ''pièces brillantes''. L’année suivante, Ardèle ou la Marguerite révèle une nouvelle facette du style de Jean Anouilh : les ''pièces grinçantes''.
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En 1953, le succès de L’Alouette (''pièce costumée'') rivalise avec celui d’''Antigone''.
Après une période de répit, trois nouvelles pièces sont publiées en 1959 : L’Hurluberlu ou le réactionnaire amoureux, Le petit Molière et Becket ou l’honneur de Dieu, cette dernière obtenant immédiatement un succès. Cette pièce est mise en scène conjointement avec Robert Piétri et il en sera ainsi pour toutes les nouvelles pièces.
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Après l’échec de La grotte (1961), Jean Anouilh se tourne vers la mise en scène. Il monte successivement Tartuffe (Molière), Victor ou les enfants au pouvoir (Roger Vitrac), L’Acheteuse (Steve Pasteur), et Richard III (William Shakespeare). Le rythme de ses publications personnelles diminue donc : seules trois pièces verront le jour d’ici à 1968. Mais en 1969, un de ses chefs d’œuvres réaffirme s’il était encore besoin son talent : Cher Antoine ou l’amour raté (''pièce baroque'').

Il écrira encore plusieurs pièces dans les années soixante-dix, dont certaines lui vaudront le qualificatif ''d’auteur de théâtre de distraction''. Il n’en reste pas moins qu’il a bâti une oeuvre qui révèle un pessimisme profond.
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Anouilh est mort en 1987, sur les bords du Lac Léman.

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Tragédie
La tragédie est un genre théâtral dont l’origine remonte au théâtre grec antique.

On l’oppose à la comédie au contraire de laquelle elle met en scène des personnages de rangs élevés et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Aristote lui assigne pour but d’inspirer « terreur et pitié ».
Origine[modifier]La tragédie apparaît à Athènes au Ve siècle av. J.-C.. Elle est représentée dans le cadre des fêtes de Dionysos (fin janvier et fin mars).

Le mot τραγῳδία / tragôidía est composé de trágos, « bouc » et ᾠδή / ôidế, « chant », il veut dire le « chant du bouc ». Mais les raisons d’un tel vocable ne sont pas très claires. La tragédie pourrait avoir été d’abord liée au satyre, compagnon de Dionysos, mi-homme mi-bouc. Cette hypothèse semble étayée par Aristote qui affirme dans sa Poétique que la tragédie est d’origine satirique et légère[1]. Elle soulève toutefois des difficultés : le satyre n’est jamais appelé « bouc » dans les textes grecs et bien peu de choses semblent relier les tragédies grecques conservées et le genre satirique.

Une autre hypothèse a également été formulée : le mot bouc viendrait, non du sujet de la tragédie mais du sacrifice de cet animal avant la représentation. Les sources antiques ne permettent pas de confirmer cette hypothèse[2].

Certains voient dans le « chant du bouc » l’expression de la plainte de l’animal mené à l’autel sacrificiel, mis en parallèle avec la confrontation du héros tragique à son destin lors d’une lutte qu’il sait être perdue d’avance.[réf. nécessaire]

Une autre origine serait la transformation de Dionysos, fils de Zeus et de la mortelle Sémélé, en chevreau, dans le but d’échapper à la colère d’Héra[
Déroulement[modifier]Des personnages de rang noble sont impuissants face aux forces supérieures (des dieux le plus souvent) qui les manipulent. L’enchaînement des événements et le dénouement nécessairement dramatique relèvent d’une fatalité implacable, qui peut sembler injuste, inique et bien au-delà de l’endurance humaine.

La tragédie touche donc le public par la terreur et la pitié (dans le cas d’Œdipe, personnage incestueux et parricide) qu’elle fait naître. Cela en fait un genre à portée édifiante. Pour Aristote[4] la tragédie a une vocation didactique, c’est-à-dire qu’elle vise à enseigner une vérité morale ou métaphysique au public. On appelle cela la catharsis, grâce à laquelle l’âme du spectateur serait purifiée de ses passions excessives.

La tragédie commence par un prologue (ο προλογος) dans lequel un ou deux acteurs exposent la situation et où la présentation des personnages est faite.

Le chœur entre alors en scène ; c’est la parodos (ο παροδος). Il prend place dans l’orchestra qu’il ne quittera plus jusqu’à la fin.

On a ensuite une alternance de dialogues entre deux ou trois acteurs : les épisodes (οι επεισοδοι) et de parties chorales chantées, les stasima (τα στασιμα). Il y avait en général trois ou quatre épisodes et stasima.

La dernière partie s’appelle l’exodos (η εξοδος). Le chœur quitte alors le théâtre.

La littérature grecque a trois grands auteurs de tragédie : Eschyle, Sophocle et Euripide. Le théâtre romain ne semble pas avoir assez apprécié la tragédie pour que se développe une littérature tragique importante. Sénèque, cependant, a adapté en latin des tragédies grecques comme Phèdre ou Médée.

La tragédie humaniste[modifier]Elle est représentée par Etienne Jodelle, Jean de La Péruse, Jacques Grévin, Robert Garnier.

La tragédie élisabéthaine[modifier]D’importants auteurs anglais écrivent des tragédies à la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe : Christopher Marlowe, Ben Jonson et William Shakespeare. Elles reprennent certains traits de la tragédie antique mais s’en distinguent par l’absence d’unité et par un mélange de tons, notamment par l’insertion de passage comiques dans le texte.

La tragédie classique française[modifier]Délaissé au Moyen Âge, ce genre revit (assez tardivement néanmoins), grâce à la Sophonisbe, de l’Italien Trissino, qui est la première des tragédies à respecter la règle des unités.

En France et en Espagne, à l’époque classique, les deux dramaturges les plus importants sont Jean Racine et Pierre Corneille. Quand sa pièce, Bérénice, a été critiquée parce qu’elle ne contenait pas de dénouement fatal, Racine a répondu en contestant le traitement "conventionnel" de la tragédie. Corneille pratiquait aussi une tragédie à dénouement non fatal, ou tragi-comédie, genre apprécié auparavant mais sorti des mœurs du public depuis. À la même époque, Jean-Baptiste Lully met au point avec Philippe Quinault une forme de spectacle hybride, la tragédie en musique ou tragédie lyrique, qui donnera naissance au genre de l’opéra français. La tragédie classique française se devait de respecter la règle des trois unités : de lieu, de temps, et d’action. Mais aussi celle de la bienséance (pas de combats ou de sang sur scène, pas de rapprochements intimes, comme les baisers...),celle de la vraisemblance et celle de la grandeur : les personnages sont des rois et des reines.

Ce genre fut d’abord codifié par Aristote et Horace, puis par des doctes du XVIIe siècle. Enfin, l’on en retrouve toutes les règles dans l'Art poétique de Boileau.

D’autres auteurs, moins connus aujourd’hui, eurent une grande fortune dans ce genre, considéré comme l’un des plus nobles. Comme Thomas Corneille ou Robert Garnier. D’autres nous sont plus connus, mais surtout par leur véritable absence de talent : Scudéry, Pradon...

Déroulement[modifier]Si la division en actes proprement dite est inconnue de la tragédie grecque, celle qui s'impose à la Renaissance consiste en trois actes, étendus à cinq au siècle suivant :

le premier acte correspond à l’exposition de la situation des personnages
le second voit apparaître l’élément perturbateur (rupture entre Titus et Bérénice dans Bérénice, décision du sacrifice d’Iphigénie dans Iphigénie...)
dans le troisième acte, les protagonistes cherchent une solution au drame, tout paraît encore possible
dans le quatrième acte, l’action se noue définitivement, chez Racine du moins, les personnages n’ont plus aucune chance d’échapper à leur destin
au cinquième acte, l’action se dénoue enfin, entraînant la mort d’un ou de plusieurs personnages
1. Temps et lieux.
Début. La comédie (occidentale) est née en Grèce, aux alentours du VIe siècle avant J.-C.
Fin. Elle existe encore aujourd'hui, sous une forme, ou plutôt des formes, très différente de celle qu'elle avait au début.
Lieu. La comédie a acquis le statut de "grand" genre littéraire (c'est-à-dire qu'elle s'est élevée au-dessus de la farce) dans les pays où la littérature s'est s'épanouie: Grèce, Égypte, Italie, Espagne, France, Angleterre, Allemagne, Chine, Japon, États-Unis...

2. Auteurs et oeuvres.
Aristophane (-450 à -386, grec), Les Nuées.
Ménandre (-342 à -292, grec), L'Arbitrage.
Plaute (-254 à -184, latin), Amphitryon.
Térence (-190 à -159, latin), L'Eunuque.
La Farce de Maître Pathelin (1464, auteur inconnu).
Pierre Gringoire (v.1475-v.1538, français), Le Prince des sots.
L'Arioste (1474-1533, italien), L'Entremetteuse.
L'Arétin (1492-1556, italien), La Courtisane.
Fernando de Rojas (v.1465-v.1541, espagnol), La Célestine.
Lope de Rueda (v.1500-1565, espagnol), Les Trompés.
Lope de Vega (1562-1635, espagnol), L'Étoile de Séville.
Shakespeare (1564-1616), La Mégère apprivoisée.
Ben Johnson (1572-1637, anglais), L'Alchimiste.
Pedro Calderon (1600-1681, espagnol), L'Alcade de Zalamea.
Molière (1622-1673), Tartuffe.
Lesage (1668-1747), Turcaret.
Marivaux (1688-1763), Le Jeu de l'amour et du hasard.
Carlo Goldoni (1707-1793, italien), La Locandiera.
Beaumarchais (1732-1799), Le Barbier de Séville.
Alfred de Musset (1810-1857), Les Caprices de Marianne.
Gogol (1809-1852, russe), L'Inspecteur général.
Eugène Labiche (1815-1888), Un chapeau de paille d'Italie.
Georges Courteline (1858-1929), Les Gaietés de l'escadron.
Alfred Jarry (1873-1907), Ubu roi.
Eugène Ionesco (1912-1995), La Cantatrice chauve.

3. Définition et fonction dans la société.
Le mot de comédie (en français) a d'abord servi à désigner le théâtre en général (XIV-XVIe siècles). A partir de la Renaissance, on lui a attribué un sens plus restreint et plus précis: il renvoie désormais à un genre dramatique qui se distingue à la fois de la tragédie (forme noble du théâtre) et de la farce (forme populaire du théâtre). La comédie est un genre protéiforme, donc difficile à saisir. Il y a quand même des constantes: il s'agit d'un texte composé de dialogues en vers ou en prose et destiné à provoquer le rire (l'humour peut être aussi bien innocent que grinçant); on y retrouve une intrigue (souvent amoureuse), une peinture psychologique ou sociale, de la fantaisie (autant dans les mots que dans l'action); le texte met en scène des personnages tirés la plupart du temps de la vie ordinaire (contrairement à la tragédie); le ton est en général léger, enjoué. La comédie se fonde sur la dualité essentielle entre la vie et sa représentation; son principe (qui est celui du comique en général) est un principe de contradiction: le rire naît d'un événement triste ou désagréable. Alors que le drame ou la tragédie amplifie les événements, la comédie les atténue, tout en les mettant en relief. Son rôle est de dédramatiser, de désacraliser même. Elle se tourne toujours vers l'aspect ridicule des êtres et des choses, elle en souligne le caractère insignifiant; elle cherche à faire descendre l'homme de son piédestal (la tragédie vise le but inverse). L'idée de jeu est à la base de la comédie: elle joue avec les êtres et les choses, elle se joue d'eux allègrement. Ce jeu (entendu à la fois comme amusement et comme distance prise par rapport au monde) représente un moyen efficace et fécond de traiter des problèmes des hommes et de la société. Certains auteurs de comédies s'en sont avisés et ont ainsi proposé, par le biais du rire et d'une écriture ludique, une critique de la société, une satire des moeurs qui régissent la vie des hommes (ex.: Aristophane, Molière, Beaumarchais); ils ont fait de la comédie un miroir qui reflète la réalité, mais en la déformant, en la grossissant, en la transformant (ex.: création de types comiques). Le théâtre, avec sa grande portée, a permis à ces écrivains une diffusion très large de leurs idées. Les auteurs de comédies (les plus grands) sont donc profondément engagés dans la vie de leurs contemporains; la comédie, pour eux, est bien plus qu'un simple divertissement: c'est un moyen d'agir sur le réel. Cependant, la plus grande partie du public (de toutes les époques) n'a souvent été sensible qu'au côté agréable, divertissant de la comédie; il est arrivé d'ailleurs que des rois, des seigneurs engagent des auteurs de comédies pour être divertis (ex.: Molière a été au service de Louis XIV). Depuis sa création, la comédie a toujours joui d'une grande popularité, mais surtout auprès du peuple; l'élite de la société l'a souvent boudée, la considérant comme un genre mineur.

4. Origines et postérité.
Origines.
La comédie a des origines populaires. Dans le cadre des fêtes en l'honneur de Dionysos, il y avait des cortèges burlesques, appelés kômoi, où l'on pouvait entendre des plaisanteries et des chansons. Ces manifestations spontanées ont fait place après quelque temps à des représentations plus organisées, des farces, des pantomimes: c'est ainsi qu'est né le théâtre populaire. Ses ressources inouïes ont inspiré des hommes de lettres qui ont décidé de les exploiter à fond et de leur donner une portée plus grande: création de la comédie. Plus tard, au Moyen Âge, après être disparue pendant des siècles, la comédie a connu une renaissance à travers les formes populaires du jeu comique. Elle est donc fortement liée à la tradition populaire, elle s'en est souvent inspirée pour se renouveler (ex.: la commedia dell'arte pour les auteurs du XVIIe siècle).

Postérité.
Les principaux genres de comédie jusqu'à la fin du XIXe siècle sont la comédie de caractère (ex.: Le Misanthrope), la comédie de moeurs (ex.: Turcaret de Lesage), la comédie romanesque ou fantaisiste (ex.: Le Prince travesti de Marivaux), la comédie burlesque (ex.:Les Fourberies de Scapin), la comédie dramatique (ex.: On ne badine pas avec l'Amour de Musset), la comédie réaliste (XIXe siècle, ex.: l'oeuvre de Gogol), le vaudeville (apparu après la Révoution, ex.: l'oeuvre de Feydeau).
À partir de la fin du XIXe siècle, la comédie s'est considérablement transformée et diversifiée. On peut distinguer au XXe siècle quatre courants principaux: il y a la comédie traditionnelle, qui reprend les schémas généraux du théâtre comique tel qu'on le pratique depuis longtemps (ex.: Sacha Guitry, Jean Anouilh, Marcel Pagnol, Jules Romain); la comédie allégorique, qui mêle à l'humour le lyrisme (Protée de Claudel, 1913) et le fantastique (Crommelynck, Le Cocu magnifique, 1921); la comédie poétique, où l'on utilise les ressources du langage pour explorer les vérités secrètes du monde (Jules Supervielle, Le Voleur d'enfants, 1948; Georges Schehadé, Monsieur Bob'le, 1951; Jacques Audiberti, Le Mal court, 1947); la comédie qui se présente comme anti-comédie, où le comique, agressif ou burlesque, cherche à détruire toutes les valeurs humaines pour montrer l'absurdité du monde, tout en faisant éclater les catégories traditionnelles de la dramaturgie (personnages, action, etc.): Alfred Jarry, Ubu roi, 1896; Guillaume Apollinaire, Les Mamelles de Tirésias, 1917; Eugène Ionesco, La Cantatrice Chauve, 1950; Samuel Beckett, En attendant Godot, 1953.

5. Bibliographie.
CHEVALLIER, Claude-Alain, Théâtre comique du Moyen Âge, Paris, 10/18, 1973, 333p.
Encyclopeadia Universalis, articles comédie et théâtre.
GRIMAL, Pierre, le Théâtre antique, Paris, PUF, 1978, 128p.
GUICHEMERRE, Roger, la Comédie classique en France, Paris, PUF, 1978, 128p.
LARTHOMAS, Pierre, le Langage dramatique, Librairie Armand Colin, Paris, 1972, 478p.
SAREIL, Jean, l'Écriture comique, Paris, PUF, 1984, 186p
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